De par sa forte densité urbaine et son passé industriel, le bassin Artois-Picardie dispose depuis plusieurs décennies de multiples réseaux d’observation.
- Piézomètre pour le suivi du niveau des eaux souterraines
Les premiers réseaux ont été mis en place dans les années 1970 ; ils servent :
- à évaluer l’état général des eaux et les tendances à l’échelle du bassin
- à contrôler la conformité réglementaire de la qualité de l’eau en fonction de son usage (baignade, eau potable, conchyliculture,.....)
- à contrôler localement l’impact d’une activité polluante (station d’épuration, rejets industriels, pollution agricole,....) et l’efficacité des mesures prises pour réduire cet impact.
Depuis 2007, ces réseaux de surveillance ont été restructurés pour répondre aux objectifs de la directive européenne Cadre sur l’Eau (DCE) visant l’atteinte du "bon état" des eaux.
Ils comprennent désormais :
- le programme de surveillance destiné à évaluer l’état des eaux, au sens de la DCE
- les réseaux complémentaires permettant d’affiner la connaissance des milieux et de répondre aux besoins spécifiques des acteurs de l’eau du bassin
- Station hydrométrique automatique de mesure des débits
Les réseaux d’observation sont organisés par thématique :