Votre avis nous intéresse !

Pour nous aider à améliorer le portail de bassin afin qu’il réponde au mieux à vos attentes, nous vous remercions de répondre à notre enquête en ligne

Commencer

SDAGE 2022-2027

Le SDAGE 2022-2027 a été adopté le 15 mars 2022. Tous les documents sont disponibles sur ce site dans la rubrique "SDAGE et Directive Cadre sur l'Eau". Cliquez ci-dessous pour accéder directement au SDAGE.

SDAGE 2022-2027

Partager cette page :

Cette étude vise à caractériser les flux des différents paramètres et leur variabilité pour le Wimereux, un petit fleuve côtier situé dans le département du Pas-de-Calais (62), à partir de mesures haute fréquence. Elle est focalisée sur l’étude des nitrates (NO3), du phosphate (PO4), de l’ammonium (NH4) et du carbone organique total (COT).

PDF - 1.5 Mo
Etude : les flux de nutriments et leur variabilité : suivi à haute fréquence des paramètres biogéochimiques dans le Wimereux

Le Wimereux est un petit fleuve côtier situé dans le département du Pas-de-Calais (62). La longueur de son cours d’eau est de 22.1 km. Ce fleuve prend sa source à Colembert, traverse la ville de Wimille avant de se jeter dans la Manche à Wimereux. Le régime hydrologique du cours d’eau varie saisonnièrement et est lié aux précipitations.

Ce cours d’eau montre des signes de pollution avec un apport important en nitrate dû aux rejets domestiques et industriels. Ces pollutions dues à un enrichissement en sels nutritifs et en matière organique favorisent généralement la prolifération algale sur le littoral. Les blooms de phaeocystis sont fréquemment rencontrés en aval de ce fleuve.

Des mesures à haute fréquence (toutes les 10 minutes) des paramètres biogéochimiques ont été effectuées par l’Agence de l’Eau Artois-Picardie durant deux campagnes (automne 2010, hiver 2011). Cela a permis de caractériser les flux de matière azotée (nitrates NO3 et ammonium NH4) et non azotée (phosphate PO4 et carbone organique total COT) émis par le Wimereux et leur variabilité. Ensuite, les valeurs moyennes de flux données par de la haute fréquence sont comparées à celles estimées par des mesures à basse fréquence (1 donnée mensuelle).

L’étude montre qu’elles sont généralement différentes quelle que soit la saison ou le paramètre. L’erreur faite en utilisant ces approximations instantanées mensuelles dans le cadre d’un réseau de surveillance a pu ainsi être quantifiée.

Cette étude a été effectuée dans le cadre d’une convention entre l’Agence de l’Eau Artois-Picardie et le Laboratoire d’Océanologie et de Géosciences.

Pour en savoir plus

Aidez-nous à nous améliorer !

Donnez votre avis !

Commencer