Comme chaque année, l’Agence de l’eau Artois-Picardie publie son étude sur le prix des services de l’eau sur le Bassin. Pour l’année 2012, plus de 90% des habitants du bassin est couvert par l’enquête pour un prix des services de 4,26 € TTC / m3
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SDAGE 2022-2027
Le SDAGE 2022-2027 a été adopté le 15 mars 2022. Tous les documents sont disponibles sur ce site dans la rubrique "SDAGE et Directive Cadre sur l'Eau". Cliquez ci-dessous pour accéder directement au SDAGE.
Les actualités et les nouvelles parutions concernant le bassin Artois-Picardie
Comme chaque année, l’Agence de l’eau Artois-Picardie publie son étude sur le prix des services de l’eau sur le Bassin. Pour l’année 2012, plus de 90% des habitants du bassin est couvert par l’enquête pour un prix des services de 4,26 € TTC / m3
Dans le cadre de la protection des eaux souterraines et de surface contre les pollutions provoquées par les nitrates d’origine agricole, des zones vulnérables à la pollution par les nitrates d’origine agricole ont été délimitées par arrêté préfectoral du 28 décembre 2012.
Le Xeme programme de l’agence de l’eau Artois Picardie a été défini comme la mesure supplémentaire pour le bassin Artois Picardie par arrêté du Préfet coordonnateur de bassin du 14 décembre 2012.
L’évaluation initiale des eaux marines du plan d’action pour le milieu marin de la sous-région marine "Manche - mer du Nord" a été approuvée le 21 décembre 2012.
Le parc naturel marin des estuaires picards et de la mer d’Opale, premier parc de la façade maritime Manche Est - mer du Nord a vu le jour le 11 décembre 2012 par décret du ministère de la Transition écologique et solidaire.
Le préfet coordonnateur de bassin Artois-Picardie, Dominique Bur, a arrêté le 28 décembre 2012 les zones vulnérables pour la période 2013 à 2016.
1 milliard d’euros entre 2013 et 2018 pour le bon état des milieux aquatiques et la préservation de la ressource en eau
Chaque année, en juin, les Agences Régionales de Santé (ARS) Nord-Pas-de-Calais et Picardie et l’Agence de l’Eau Artois-Picardie présentent conjointement le bilan de la qualité des eaux de baignade de la saison balnéaire écoulée.
L’EAU EST GRATUITE ET POURTANT ELLE COUTE CHER
De tout temps les citoyens ont considéré que l’eau qui tombait du ciel devait être gratuite. Cependant, il faut la collecter, éventuellement la traiter et enfin la distribuer puis, après usage, la collecter de nouveau et la traiter afin de préserver la ressource et la biodiversité.
Le service eau potable livre chez les abonnés de l’eau potable toute l’année, et le service de l’assainissement traite les eaux usées.
AU FINAL, CE N’EST PAS L’EAU QUE L’ON PAIE MAIS LES SERVICES nécessaires pour prélever, traiter, transporter et dépolluer cette eau.
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